- 08:00
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Sinon, en vrai, il ne me reste que trois jours à tenir avant quinze jours de vacances, les vraies, celles de rêve où on prend la voiture, où on arrive à l'autre bout du monde, où on ne glande plus rien pendant une semaine, puis on reprend la voiture pour revenir au point de départ, le temps de laver ses vêtements et de repartir larver ailleurs.
Et c'est vachement cool.
Au programme : famille en Haute-Saône, Lyon et Barcelone avec l'Homme et ses amis. Oui ça promet.
Et c'est vachement cool.
Au programme : famille en Haute-Saône, Lyon et Barcelone avec l'Homme et ses amis. Oui ça promet.
- 08:00
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Je n'ai pas abandonné ce blog, loin de là. Je n'ai pas non plus égaré ma quelconque inspiration. Mais il semble une fois de plus que mes mots ne délaissent à mesure que le temps fuit, fuit je ne sais où d'ailleurs. Les jours passent trop vite, je travaille beaucoup, ça me laisse assez peu de temps pour profiter de tout le reste, mais encore un peu trop pour me poser des tas de questions et douter, toujours toujours. Au moins, je serai toujours aussi prévisible quant à la confiance dont je manque terriblement.
"I'm feeling nervous
Trying to be so perfect
'Cause you're worth it
You're worth it"
Trying to be so perfect
'Cause you're worth it
You're worth it"
Retour en arrière, quatre ans dans ta face, c'est pas facile la vie. D'une certaine façon, j'ai toujours seize ans. A quelques détails près, évidemment.
Je n'écris plus, je ne dessine plus, je ne fais plus de photos ni de chant, je danse encore moins, bien sûr. Et ça me manque toujours autant que j'ai déjà pu l'écrire ces derniers mois. Mais l'avenir, le grand, le terrible, se dresse une fois de plus sur mon passage. Si je vous dis que je me sens de nouveau comme à la veille des résultats du bac, il y a trois ans, je suppose que vous ne me croirez pas. Tellement de choses ont changé : ma ville, eux, mon coeur, mon mode de vie, moi. Pourtant j'éprouve cette même sensation, celle de me jeter dans le vide sans avoir la certitude qu'il ait un point d'atterrissage en bas, loin, hors de vue.
Arrivée en terminale, je ne savais pas quoi faire. J'aurais certainement pu tenter des grandes écoles, passer des concours, m'incrire en prépa. J'aurais eu le soutien de tous mes professeurs, l'accord de mes parents réjouis et un avenir assuré. Je n'ai rien voulu de tout ça. J'en ai eu assez de toutes ces histoires de petite fille bien sage et bien appliquée à l'école, j'ai voulu voir autre chose, j'ai choisi la fac et LEA. Une belle erreur selon certains qui se sont vu prophètes de ma déchéance quand le McDo est entré dans ma vie.
Trois ans après, je m'apprête à recommencer ce que certains considèrent une fois de plus comme une grosse erreur. J'ai envoyé mon dossier pour poursuivre en LEA, cette fois-ci en master, en croisant les doigts pour empocher ma licence dans 11 jours. Le malaise ? Je n'ai toujours rien reçu, ni oui ni non, alors que les entretiens, si entretien requis, ont dû avoir lieu en juin. Et ce doute qui grandit, le malaise qui s'accroît.
Ce mois-ci, quelques incidents sont venus perturber mon quotidien, les doutes et l'angoisse ont refait leur apparition en parallèle. Je pensais avoir tout résolu, il reste ce petit point noir à l'horizon. J'ai tellement peur que ce soit non. LEA, ce n'était pas la grosse erreur que tout le monde pensait, c'était juste l'idéal pour moi : des langues, des trucs à côté et du temps pour voir autre chose. Le master m'offre les mêmes possibilités en plus d'une formation en gestion des ressources humaines. Et c'est exactement ce que je recherche.
Alors même si j'ai un plan B, je croise les doigts pour recevoir quelque chose dans les prochains jours...

Pour ce blog aussi, j'ai une sorte de plan B. Depuis quelques temps, j'hésite un peu quant à la tournure à lui faire prendre. Je ne suis pas sûr de vouloir garder ce côté blog perso. Je ressens moins l'envie de me livrer au quotidien. Ces deux derniers mois, j'ai fait quelques posts mode, quelques posts dessins, disséminés à droite à gauche. J'ai bien envie de leur fixer un jour chacun dans la semaine. Pour m'obliger à poster, à décider et à prendre tous mes achats en photos. Ce sera donc probablement le mercredi pour le jour du dessin et le samedi pour la tenue du jour =)
J'ai quelques petites choses que je pourrai déjà programmer, reste à savoir si je vais tenir =)
Je n'écris plus, je ne dessine plus, je ne fais plus de photos ni de chant, je danse encore moins, bien sûr. Et ça me manque toujours autant que j'ai déjà pu l'écrire ces derniers mois. Mais l'avenir, le grand, le terrible, se dresse une fois de plus sur mon passage. Si je vous dis que je me sens de nouveau comme à la veille des résultats du bac, il y a trois ans, je suppose que vous ne me croirez pas. Tellement de choses ont changé : ma ville, eux, mon coeur, mon mode de vie, moi. Pourtant j'éprouve cette même sensation, celle de me jeter dans le vide sans avoir la certitude qu'il ait un point d'atterrissage en bas, loin, hors de vue.
Arrivée en terminale, je ne savais pas quoi faire. J'aurais certainement pu tenter des grandes écoles, passer des concours, m'incrire en prépa. J'aurais eu le soutien de tous mes professeurs, l'accord de mes parents réjouis et un avenir assuré. Je n'ai rien voulu de tout ça. J'en ai eu assez de toutes ces histoires de petite fille bien sage et bien appliquée à l'école, j'ai voulu voir autre chose, j'ai choisi la fac et LEA. Une belle erreur selon certains qui se sont vu prophètes de ma déchéance quand le McDo est entré dans ma vie.
Trois ans après, je m'apprête à recommencer ce que certains considèrent une fois de plus comme une grosse erreur. J'ai envoyé mon dossier pour poursuivre en LEA, cette fois-ci en master, en croisant les doigts pour empocher ma licence dans 11 jours. Le malaise ? Je n'ai toujours rien reçu, ni oui ni non, alors que les entretiens, si entretien requis, ont dû avoir lieu en juin. Et ce doute qui grandit, le malaise qui s'accroît.
Ce mois-ci, quelques incidents sont venus perturber mon quotidien, les doutes et l'angoisse ont refait leur apparition en parallèle. Je pensais avoir tout résolu, il reste ce petit point noir à l'horizon. J'ai tellement peur que ce soit non. LEA, ce n'était pas la grosse erreur que tout le monde pensait, c'était juste l'idéal pour moi : des langues, des trucs à côté et du temps pour voir autre chose. Le master m'offre les mêmes possibilités en plus d'une formation en gestion des ressources humaines. Et c'est exactement ce que je recherche.
Alors même si j'ai un plan B, je croise les doigts pour recevoir quelque chose dans les prochains jours...

Pour ce blog aussi, j'ai une sorte de plan B. Depuis quelques temps, j'hésite un peu quant à la tournure à lui faire prendre. Je ne suis pas sûr de vouloir garder ce côté blog perso. Je ressens moins l'envie de me livrer au quotidien. Ces deux derniers mois, j'ai fait quelques posts mode, quelques posts dessins, disséminés à droite à gauche. J'ai bien envie de leur fixer un jour chacun dans la semaine. Pour m'obliger à poster, à décider et à prendre tous mes achats en photos. Ce sera donc probablement le mercredi pour le jour du dessin et le samedi pour la tenue du jour =)
J'ai quelques petites choses que je pourrai déjà programmer, reste à savoir si je vais tenir =)
Musique : The Offspring - You're gonna go far kid
Manu - Tes cicatrices
Manu - Tes cicatrices
- 01:35
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★ Boîte à sourires ★
Cali samedi soir. Et re-Cali vendredi dans 15 jours. Mon piercing à la langue. Le bout de bleu par la fenêtre. Les robes sans collants et les décolletés sans veste. Sortir dans la rue avec mes spartiates. Mon vernis rouge sur les orteils. Les jours off. Donc mon vernis rouge sur les mains. Les bisous de l'homme sans barbe. Même qu'il est canon quand même. Les aprem avec juste des garçons à parler de trucs pas féminins et de rock. Pis Green Day à Toulouse. Aller chercher les places. Retourner à la fac. Pour n'avoir cours que 3 jours par semaine. Et avoir le droit de ne pas faire de stage. 30 pages à pondre sur deux ans de McDal, easy. Comme aller à la plage. Bronzer avec un bout de truc sur le tatouage, au cas où. Shopping dans ma tête ou sur papier pour préserver un peu l'humeur de mon banquier, au cas où toujours. Mais accumuler les chaussures. On sait jamais, hein. Ca peut être utile pour quand je remonterai dans les Vosges, s'il fait beau, au cas où quoi. Gribouiller. Pas au cas où, c'est important pour sourire. C'est comme le Nutella et les Haribos. Ma blouse blanche trois fois trop grande en 36. Ma robe à carreaux. Des colliers qui font bling bling et des bracelets qui font cling cling. Petite Potale que j'ai pas vue depuis des lustres. Le A qui n'est plus sur ma tuture depuis très exactement cinq jours. Ca passe vite quand même. Ma coupe de gosse, pour oublier le 2 avant le 0, parce que j'ai 5 ans, d'abord. Une bouteille d'eau vidée. Un grand frappé mocha au McCafé. Avec beaucoup de chantilly. Un ventre plat. Enfin presque. Des jambes blanc foncé, oui blanc foncé ça existe, en opposition à blanc-cachet d'aspirine.
Dites, ça sent pas l'été tout ça ?
★ Le bonheur est une vieille qui boîte sur du verglas. Alors je le répète pour qu'on ne l'oublie pas :
je t'aime, je t'aime, je t'aime, je n'aime que toi. ★
je t'aime, je t'aime, je t'aime, je n'aime que toi. ★
- 15:30
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C'est quand le bonheur ?


- 15:29
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