Enfin les "vacances", je n'y croyais plus, mais vacances entre guillemets quand même, car je ne suis pas persuadée qu'on puisse appeler vacances quatre petits jours pendant lesquels il faut aller bosser tous les soirs et réviser ses partiels tous les après-midi. Mais passons, J-65 avant mes tous premiers congés payés de toute ma vie en juillet. Autant vous dire que j'ai hâte, hein^^ C'est long, 11 mois sans avoir plus de deux jours de repos d'affilée toutes les sept semaines. Plus que deux mois, treize mois de boulot acharné au total. Mais je l'ai fait, malgré les critiques des petits cons, et maintenant, sur mon CV, il y a écrit en gros "BOSSEUSE ET VOLONTAIRE" même si les imbéciles ne peuvent pas le lire, et moi, j'ai relevé ce défi qu'on me croyait trop faible pour accomplir. Et j'en suis fière =D
Je me suis pris une petite journé pomponnage en début de semaine, c'est fou le bien que ça fait. Résultat : le sol de mon appart est tout propre et j'ai une peau de bébé . Je dors beaucoup aussi, je gribouille un petit peu entre deux cours de civilisation américaine [The Black Emancipation, The Black Emancipation, faites que ça tombe sur The Black Emancipation] et je rattrape les lettres que j'ai en retard depuis quatre mois et des poussières. Mes petits bouts du Net refont peau neuve, le blog va changer un peu de tête d'ici peu et dans quelques semaines, Blackberries devrait être complètement relooké... depuis le temps que j'en parle... =) J'ai envie d'écrire aussi, mais les mots ne viennent pas, je crois qu'il faut attendre qu'un peu moins de choses ne se bousculent dans ma tête. Mais ça reviendra, Héritière va connaître un nouvel envol cet été et je compte finir au moins une chanson. Allez mes petits doigts, au travail !
Je n'attends plus qu'un dernier sourire pour vraiment bondir en avant et avoir le sentiment, enfin, d'avoir complètement réussi, de n'être passée à côté de rien, absolument rien. J'ai un peu peur mais déjà je ne regrette rien. C'est beaucoup. Et je veux enlever cette crampe au fond de mon estomac lorsque l'on prononce le mot "avenir". Mon avenir sera merveilleux, point.
Une envie de remonter sur scène fait trépigner mes orteils. Les costumes, les jolis maquillages et les applaudissements me manquent un peu. Beaucoup plus les fous rires hystériques avant de grimper sur scène, le coeur qui bat cent fois trop vite, les mains qui se serrent et les sourires échangés. La montée d'adrénaline lorsque le rideau se lève. Comme sauter du haut d'une falaise. Puis retomber et prendre possession de cet espace si familier. J'aurais tort de le croire, on n'efface pas douze ans comme ça.
Pour compenser, je chante un peu. Mais je suis perfectionniste, ça ne me plaît jamais assez. Comme cette chanson de Cali, Giuseppe et Maria *click* Je n'arrive pas à sortir de ma tête ce moment du concert où il l'a chanté. Une chanson si belle, si triste. Une de ses plus belles déclarations d'amour. Obsédante. Magnifique. Je ne saurai jamais la chanter avec la même force que lui, mais j'essaie. Mes propres chansons n'ont pas encore cette magie. Peut-être parce que je les ai déjà trop entendues. Mais je n'arrive pas encore à les partager. Je suis encore trop pudique pour foutre mon coeur à poil devant n'importe qui. Et encore plus devant ceux qui comptent. Un jour =)
Je me suis pris une petite journé pomponnage en début de semaine, c'est fou le bien que ça fait. Résultat : le sol de mon appart est tout propre et j'ai une peau de bébé . Je dors beaucoup aussi, je gribouille un petit peu entre deux cours de civilisation américaine [The Black Emancipation, The Black Emancipation, faites que ça tombe sur The Black Emancipation] et je rattrape les lettres que j'ai en retard depuis quatre mois et des poussières. Mes petits bouts du Net refont peau neuve, le blog va changer un peu de tête d'ici peu et dans quelques semaines, Blackberries devrait être complètement relooké... depuis le temps que j'en parle... =) J'ai envie d'écrire aussi, mais les mots ne viennent pas, je crois qu'il faut attendre qu'un peu moins de choses ne se bousculent dans ma tête. Mais ça reviendra, Héritière va connaître un nouvel envol cet été et je compte finir au moins une chanson. Allez mes petits doigts, au travail !
Je n'attends plus qu'un dernier sourire pour vraiment bondir en avant et avoir le sentiment, enfin, d'avoir complètement réussi, de n'être passée à côté de rien, absolument rien. J'ai un peu peur mais déjà je ne regrette rien. C'est beaucoup. Et je veux enlever cette crampe au fond de mon estomac lorsque l'on prononce le mot "avenir". Mon avenir sera merveilleux, point.
Une envie de remonter sur scène fait trépigner mes orteils. Les costumes, les jolis maquillages et les applaudissements me manquent un peu. Beaucoup plus les fous rires hystériques avant de grimper sur scène, le coeur qui bat cent fois trop vite, les mains qui se serrent et les sourires échangés. La montée d'adrénaline lorsque le rideau se lève. Comme sauter du haut d'une falaise. Puis retomber et prendre possession de cet espace si familier. J'aurais tort de le croire, on n'efface pas douze ans comme ça.
Pour compenser, je chante un peu. Mais je suis perfectionniste, ça ne me plaît jamais assez. Comme cette chanson de Cali, Giuseppe et Maria *click* Je n'arrive pas à sortir de ma tête ce moment du concert où il l'a chanté. Une chanson si belle, si triste. Une de ses plus belles déclarations d'amour. Obsédante. Magnifique. Je ne saurai jamais la chanter avec la même force que lui, mais j'essaie. Mes propres chansons n'ont pas encore cette magie. Peut-être parce que je les ai déjà trop entendues. Mais je n'arrive pas encore à les partager. Je suis encore trop pudique pour foutre mon coeur à poil devant n'importe qui. Et encore plus devant ceux qui comptent. Un jour =)
Musique : Blink 182 - Online Song
Cali - Giuseppe & Maria
Vanessa Hudgens - Gotta go my own way
Cali - Giuseppe & Maria
Vanessa Hudgens - Gotta go my own way
- 12:16
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